Le Cupcake Café sous la neige
Cupcake Café (Colgan) tome 2 sur 3
EAN : 9782266292603
POCKET (07/11/2019)
4ème de couverture :
Depuis qu’elle a ouvert son Cupcake Café à Londres, Izzy n’a plus une seconde de répit. À l’approche de Noël, quand la ville scintille de guirlandes colorées et que flotte dans l’air un doux parfum de gingembre et de cannelle, les commandes affluent et c’est encore pire. Alors qu’elle comptait sur son petit ami Austin pour la réconforter, celui-ci lui apprend qu’il a décroché un poste à New York. La jeune femme voit son univers douillet et gourmand se fissurer. Comment ignorer les milliers de kilomètres qui séparent le couple ?
Extraits :
“ Les hommes - non, pas seulement les hommes, tout le monde - fuient face à la dépendance affective. “
“ Tu essaies toujours de faire plaisir aux gens, c'est ton problème. “
“ C’était surprenant, ce don des humains pour la compassion. “
Mon avis :
La vie d’Izzy était pourtant apaisée. Débarrassée de son amant-patron qui trouvait ses formes trop généreuses, de son travail peu épanouissant, elle a réussi à développer son Cupcake Café, grâce à Austin son petit ami qui n’était que son banquier à l’époque.
Aidée par ses deux employées et amies, on peut dire qu’à l’approche de Noël, Izzy nage dans le bonheur. Mais il faut toujours se méfier de ce dernier qui a tendance à mettre les voiles quand on n’y fait pas attention. Austin reçoit une proposition de job à New York et part en laissant son petit frère à la garde d’Izzy.
Austin est émerveillé par New York, le poste proposé, les femmes rencontrées très apprêtées, son futur patron. Il va demander à Izzy de le rejoindre avant de prendre une décision. Izzy le rejoint avec Darny le petit frère d’Austin.
Les retrouvailles ne se passent pas comme prévu et avec incompréhension et malentendus, leur relation se dégrade, la situation devient tendue et Izzy repart seule à Londres.
Si les personnages de ce roman ont des problèmes existentiels et doivent faire des choix, ils sont tous bienveillants. Pas de coups bas, de lâcheté, de méchanceté et c’est reposant.
La vie devrait être comme ça.